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Posted: 26 Jan 2005 09:43
by tagada
je n ai pas lu l article mais au vu de vos reponses j imagine que cela traite des consequences de notre société de consommation extreme.
Car faire des efforts c est bien, mais si l on poursuit dans cette direction peut etre songeront nous a renoncer a un certain confort que l on nous vend a grand renfort de publicité, alors que l on en a pas besoin.
Je prend juste l exemple de la voiture, avec tous ces modeles sur-consommateur d energie tel les 4*4 ou autres voitures sportives, qui quoi qu on en dise n ont d autre utilité que de "s afficher".
Posted: 27 Jan 2005 18:46
by Rico Wallis
Vous avez oublier de parler de la guerre thermo-nucléaire qui nous attend
pour la guerre de l'énergie ! En effet les bilans les plus optimistes sur nos réserve naturel d'énergie nous laisse environs une 20 aines d'années.
Apres, ben rien, plus de gros 4X4, plus de gros cons d'Américain pour faire chier, le paradis quoi !
Sauf que nous ben on sera ptetre plus la pour dire si c'est bien le paradis sur terre, il n'y aura pls que des scorpions et des cafards, peut etre les nouvelles espèces dominantes.
Alors prennons de l'avance sortez vos moteur a air comprimé ou encore a eau ou a plasma (oui oui ca existe
), rien qu'en faisant ca nous diminuerions notre pollution de 25% pas mal non ?
Mais c'est pas tout optez pour les maisons autonomes, des immeuble entier on deja été créer sur ce principe. Pas de facture a payer a EDF pour qu'il continu a nous pourrir avec leurs centrale.
Cultiver vos legumes pour eviter de bouffer n'importe quoi, on va revenir au petits jardins d'apres guerre moi je vous le dis !
Certe le bilan n'est pas tres rejouissant mais les solutions existent et il faut agir maintenant, demain il sera trop tard !
Posted: 27 Jan 2005 19:23
by crapule
Rico Wallis wrote:En effet les bilans les plus optimistes sur nos réserve naturel d'énergie nous laisse environs une 20 aines d'années.
ca cadre pil poil avec mon cancer \o/
Posted: 28 Jan 2005 08:03
by GaNeSCH
a ce sujet la au lycee c est a dire il ya bien longtemps on nous avez dit que nos reserve serait epuisee pour 2010 et maintenat on dit 2020 donc les estimation reste des estimation
au faites le moteur a eau a etait invente il y a bien longtemps mais il a ete achete par general motors alors le jour ou il y aura plus d essence il y aura pas de souci la couche d ozone est plus importante en ce moment que la reserve d energie je penses
Posted: 01 Feb 2005 02:19
by Bonnie
Un réchauffement climatique de plus de 6 degrés n'est pas à exclure
LE MONDE | 29.01.05 | 13h32 • MIS A JOUR LE 31.01.05 | 11h22
Le réchauffement climatique paraît inéluctable en raison des quantités de gaz à effet de serre relâchées par l'activité humaine depuis le début de l'ère industrielle. Le taux de gaz carbonique (CO2) est ainsi passé de 280 ppm (partie par million) en 1750 à 360 ppm aujourd'hui. Et le dernier rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) prévoyait en 2001 que ce taux pourrait atteindre 540 à 970 ppm d'ici à 2100.
Que se passera-t-il si le taux de CO2 double d'ici à la fin du siècle, voire avant ? La réponse n'est pas simple, car la sensibilité du climat, sa réponse lente ou brutale à cette nouvelle situation, demeure encore inconnue. Le prochain rapport du GIEC, en 2007, devrait être consacré à ce thème, qui, confirme Jean Jouzel, directeur de l'Institut Pierre-Simon-Laplace, "est au cœur des incertitudes du changement climatique".
En témoigne une étude de Dave Stainforth (département de physique de l'université d'Oxford, Grande-Bretagne) et de plusieurs chercheurs britanniques publiée dans la revue Nature du 27 janvier. Selon elle, un doublement du CO2 pourrait donner lieu à des hausses de températures de 1,9 °C à 11,5 °C.
Or, les experts du GIEC estimaient que cette fourchette resterait comprise entre 1,5 °C et 4,5 °C. Lors de la dernière réunion de travail du groupement, qui s'est tenue à Paris du 26 au 29 juillet 2004, les spécialistes se sont mis d'accord sur une hausse moyenne de température de 3 °C.
Les travaux publiés dans Nature tranchent avec cet optimisme. Ils ont été obtenus grâce à l'utilisation d'une méthode originale menée dans le cadre du programme Climateprediction.net. Cette expérience, lancée officiellement en 2002, et réalisée sous la houlette du Met Office, du Rutherford Appleton Laboratory et de l'université de Reading, en Grande-Bretagne, consiste, pour mener des simulations climatiques, à recourir à un très grand nombre de personnes (étudiants, scientifiques), et donc d'ordinateurs plutôt que de faire appel à un centre de calcul unique et ultrapuissant. 62 000 personnes appartenant à 130 pays ont participé à cette opération. De plus, depuis un an, Climateprediction.net utilise le même réseau et le même logiciel que SETI@home - un programme de recherche des signaux extraterrestres fonctionnant sur le même principe -, tous deux développés par l'université de Californie, à Berkeley.
Pour réaliser cette étude, 2 750 simulations ont été réalisées sur quinze ans en utilisant une version du Met Office Unified Model, qui comprend un modèle atmosphérique d'une résolution standard couplé à un modèle océanique très simple. Pour chaque simulation, six paramètres relatifs à la formation des nuages et à leur passage à la pluie ont été dotés de deux ou trois valeurs. Au final, le réchauffement observé s'échelonne entre 1,9 °C et 11,5 °C, mais la plus grande partie des résultats varie entre 4,2 °C et 8 °C.
"Nos résultats montrent (...) qu'une grande sensibilité du climat au CO2 ne peut être négligée", explique Dave Stainforth. Avec ses collègues, il envisage d'effectuer les mêmes simulations avec une quinzaine de paramètres supplémentaires, et de modéliser la période 1950-2100, en utilisant cette fois un modèle d'océan dynamique.
Pour le climatologue Jean Jouzel, ce travail britannique est "très intéressant car la démarche est nouvelle et complémentaire des simulations réalisées sur de très gros calculateurs, tel Earth Simulator, au Japon. Cela permet de voir comment réagissent différents modèles, ou le même modèle avec plusieurs variables. Des valeurs très élevées de la sensibilité du climat ne peuvent être exclues. Cela montre bien que l'on joue avec le feu".
Dans leur dernier rapport, les experts du GIEC estimaient que le réchauffement climatique prévu pour la fin du siècle pourrait varier de 1,4 °C à 5,8 °C. "On ne peut exclure que le réchauffement soit supérieur à 6 °C à la fin du siècle si on ne fait pas attention", prévient Jean Jouzel. Mais "nous aurons une idée plus précise de ce qui nous attend en avançant dans le siècle, et en contraignant les modèles avec les données climatiques actualisées".
Christiane Galus
Point de non-retour
"Une bombe écologique est en marche, car le réchauffement climatique approche un point de non-retour", précise un rapport réalisé par le Public Policy Research (Grande-Bretagne), le Center for American Progress (Etats-Unis) et un institut australien. Intitulé "Meeting the climate challenge", ce texte demande aux pays industrialisés membres du G8 de diminuer leurs émissions de gaz carbonique, de doubler leur budget de recherche sur les technologies vertes et de travailler en concertation avec l'Inde et la Chine pour mettre en œuvre le protocole de Kyoto. "Il devient urgent, précise le rapport, que le réchauffement de la planète n'excède pas 2 °C de plus que la température existant en 1750. Ce qui pourrait être obtenu en maintenant les émissions de gaz carbonique à un taux inférieur à 400 ppm."
• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 30.01.05
Posted: 01 Feb 2005 11:21
by ergel
mici Bonnie ! ;o)
Posted: 01 Feb 2005 12:50
by Bonnie
C'est ironique, je présume, ce merci ?
Posted: 01 Feb 2005 14:31
by niarf
Bonnie wrote:Un réchauffement climatique de plus de 6 degrés n'est pas à exclure
LE MONDE | 29.01.05 | 13h32 • MIS A JOUR LE 31.01.05 | 11h22
Le réchauffement climatique paraît inéluctable en raison des quantités de gaz à effet de serre relâchées par l'activité humaine depuis le début de l'ère industrielle. Le taux de gaz carbonique (CO2) est ainsi passé de 280 ppm (partie par million) en 1750 à 360 ppm aujourd'hui. Et le dernier rapport du GIEC (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat) prévoyait en 2001 que ce taux pourrait atteindre 540 à 970 ppm d'ici à 2100.
Que se passera-t-il si le taux de CO2 double d'ici à la fin du siècle, voire avant ? La réponse n'est pas simple, car la sensibilité du climat, sa réponse lente ou brutale à cette nouvelle situation, demeure encore inconnue. Le prochain rapport du GIEC, en 2007, devrait être consacré à ce thème, qui, confirme Jean Jouzel, directeur de l'Institut Pierre-Simon-Laplace, "est au cœur des incertitudes du changement climatique".
En témoigne une étude de Dave Stainforth (département de physique de l'université d'Oxford, Grande-Bretagne) et de plusieurs chercheurs britanniques publiée dans la revue Nature du 27 janvier. Selon elle, un doublement du CO2 pourrait donner lieu à des hausses de températures de 1,9 °C à 11,5 °C.
Or, les experts du GIEC estimaient que cette fourchette resterait comprise entre 1,5 °C et 4,5 °C. Lors de la dernière réunion de travail du groupement, qui s'est tenue à Paris du 26 au 29 juillet 2004, les spécialistes se sont mis d'accord sur une hausse moyenne de température de 3 °C.
Les travaux publiés dans Nature tranchent avec cet optimisme. Ils ont été obtenus grâce à l'utilisation d'une méthode originale menée dans le cadre du programme Climateprediction.net. Cette expérience, lancée officiellement en 2002, et réalisée sous la houlette du Met Office, du Rutherford Appleton Laboratory et de l'université de Reading, en Grande-Bretagne, consiste, pour mener des simulations climatiques, à recourir à un très grand nombre de personnes (étudiants, scientifiques), et donc d'ordinateurs plutôt que de faire appel à un centre de calcul unique et ultrapuissant. 62 000 personnes appartenant à 130 pays ont participé à cette opération. De plus, depuis un an, Climateprediction.net utilise le même réseau et le même logiciel que SETI@home - un programme de recherche des signaux extraterrestres fonctionnant sur le même principe -, tous deux développés par l'université de Californie, à Berkeley.
Pour réaliser cette étude, 2 750 simulations ont été réalisées sur quinze ans en utilisant une version du Met Office Unified Model, qui comprend un modèle atmosphérique d'une résolution standard couplé à un modèle océanique très simple. Pour chaque simulation, six paramètres relatifs à la formation des nuages et à leur passage à la pluie ont été dotés de deux ou trois valeurs. Au final, le réchauffement observé s'échelonne entre 1,9 °C et 11,5 °C, mais la plus grande partie des résultats varie entre 4,2 °C et 8 °C.
"Nos résultats montrent (...) qu'une grande sensibilité du climat au CO2 ne peut être négligée", explique Dave Stainforth. Avec ses collègues, il envisage d'effectuer les mêmes simulations avec une quinzaine de paramètres supplémentaires, et de modéliser la période 1950-2100, en utilisant cette fois un modèle d'océan dynamique.
Pour le climatologue Jean Jouzel, ce travail britannique est "très intéressant car la démarche est nouvelle et complémentaire des simulations réalisées sur de très gros calculateurs, tel Earth Simulator, au Japon. Cela permet de voir comment réagissent différents modèles, ou le même modèle avec plusieurs variables. Des valeurs très élevées de la sensibilité du climat ne peuvent être exclues. Cela montre bien que l'on joue avec le feu".
Dans leur dernier rapport, les experts du GIEC estimaient que le réchauffement climatique prévu pour la fin du siècle pourrait varier de 1,4 °C à 5,8 °C. "On ne peut exclure que le réchauffement soit supérieur à 6 °C à la fin du siècle si on ne fait pas attention", prévient Jean Jouzel. Mais "nous aurons une idée plus précise de ce qui nous attend en avançant dans le siècle, et en contraignant les modèles avec les données climatiques actualisées".
Christiane Galus
Point de non-retour
"Une bombe écologique est en marche, car le réchauffement climatique approche un point de non-retour", précise un rapport réalisé par le Public Policy Research (Grande-Bretagne), le Center for American Progress (Etats-Unis) et un institut australien. Intitulé "Meeting the climate challenge", ce texte demande aux pays industrialisés membres du G8 de diminuer leurs émissions de gaz carbonique, de doubler leur budget de recherche sur les technologies vertes et de travailler en concertation avec l'Inde et la Chine pour mettre en œuvre le protocole de Kyoto. "Il devient urgent, précise le rapport, que le réchauffement de la planète n'excède pas 2 °C de plus que la température existant en 1750. Ce qui pourrait être obtenu en maintenant les émissions de gaz carbonique à un taux inférieur à 400 ppm."
• ARTICLE PARU DANS L'EDITION DU 30.01.05
Il y a encore trop d'inconnues pour que ca fasse trop trop peur...
(noublions pas que l'océan simplifié dans ses calcul est la plus grosse pompe a CO2 de la planete...)
Posted: 01 Feb 2005 14:41
by ergel
Bonnie wrote:C'est ironique, je présume, ce merci ?
Bah c'est le texte qui etait derrière le lien du début du post non ? J'avais pas pu le lire, so merci de l'avoir mis en copie ici. ;o)
Posted: 01 Feb 2005 14:46
by niarf
Meuuuhh nan sa ca en est un autre encore plus alarmiste que tout les autres.... c'est pour continuer a avoir la peche au quotidien..
Posted: 01 Feb 2005 15:33
by Paradox~
En meme temp on sera mort lorsque la fin du monde arrivera donc vous faites pas tant de soucis , ne me parler de vos decendant , une fois mort ca ne vous inquietera plus
Posted: 01 Feb 2005 15:56
by Bonnie
Euh Para, sois pas si sûr que ça de ne pas connaitre toi-même la "fin du monde"...C'est justement aussi le propos de ce topic.
Posted: 01 Feb 2005 16:08
by niarf
decidement bonnie on vois pas les choses pareils sur ce coup la...
Ce n'est pas la fin du monde mais la fin d'un monde.. (nuance subtile mais essentielle...)
Je trouve qu'on en fait des tonnes en ce moment, je te repete que je ne crois pas qu'il faille prendre tout ces article au pied de la lettre...
Posted: 01 Feb 2005 16:09
by Bonnie
Les articles peut-être pas alors.
Les constats climatiques et écologiques, on peut pas faire autrement.
Posted: 01 Feb 2005 16:26
by niarf
Ben justement, dans tous les articles que j'ai lu, il parle de prévision et de simulation....
Le constat est bien réel, je dois le reconnaitre, la température générale de la planete augmente... Mais pour ce qui est des prévision, ils se basent sur des modèles qui évoluent mal (il n'y a qu'a voir les prévision météo qui deviennent de plus en plus aléatoires...) Donc, oui il faut faire qqch, mais non a la peur que veulent provoquer les alarmiste... (encore que la foule ne marche qu'a coup de pied dans le derriere...)