la constitution "oui" ou "non" ???

[Apo^]

lool, j ai meme pas pu m entrainer j ai bouffé ma derniere tartine ce matin noooooooon!!!!!!!!!
17 ans....c est encore un age ou on peu dire : "plus tard je veux etre président" alors préparez vous, votez pour moi aux prochaines présidentielles, je renomerai bien la france en melangeant PoToS et France ca donnerai...gnégnégné.....Potance ou bien....gné...Franco.....


bon ok oubliez moi de votre scène politique je ferai un bien pietre chef d' Etat. Non ne pleurez pas, je reste ici tout de même!!

[raylenevroser]

mouarf le non la emporter a 55 /100
et qui revoiton a le tele
le pen devillier besenno


vive notre avenir .........

[Bl@ckSkuLL]

kler..... je suis grave déçu là....

[niarf]

typiquement francais ca...

Normalement pour ouvrir un dialogue sans frustrer un interlocuteur ou dis "oui, mais..." en france on prefere le "non, mais..." ce qui laisse une marge de manoeuvre bcp plus restreinte...

Et tout ces glandu de gaucho qui nous vendent du "ce n'est pas un non a l'europe mais un non a cette europe la...". Moi je crois que personne ne sais plus ce que veux dire non... Le "oui mais..." etait a mes yeux une alternative beaucoup plus réaliste...

Enfin bon, on revote le mm dans un an on vera bien...

[Teyut]

bah, apparement, c'était plus un vote sanction contre le gouvernement qu'une réele prise de décision. Perso, j'ai pas voté (oui oui, comptez sur moi pour me plaindre quand les fachos seront au pouvoir à cause de moi et tout ça ...), et même si je l'avais fait, j'aurais franchement eu du mal à prendre un choix sur le fond, vu à qu'aucun des débats que j'ai vu/entendu sur le sujet n'a pu me convaincre sur la bonne foi des partisants des deux camps ...

Et sinon, Bonnie, concernant le vote blanc, il est comptabilisé en France comme une abstention, et ne rentre donc dans aucune stat à part entière

[Bl@ckSkuLL]

ouais mais je pense que le problème c'est comme la dit niarf.
Il aurait fallu que les gens se rendent compte que si ils ont rien compris à la constitution, il vallait mieux ne pas voter plutôt que de dire non à cause de ce qu'ils entendent autour d'eux, parce que m'est avis que beaucoup des "partisans" du non n'avait rien comprit à la constitution.

[Bonnie]

ouais mais je pense que le problème c'est comme la dit niarf.
Il aurait fallu que les gens se rendent compte que si ils ont rien compris à la constitution, il vallait mieux ne pas voter plutôt que de dire non à cause de ce qu'ils entendent autour d'eux, parce que m'est avis que beaucoup des "partisans" du non n'avait rien comprit à la constitution.

Tu sais, beaucoup de gens qui ont voté oui n'ont également rien compris...
Pour le coup, on peut dire que ce vote aura été intéressant parce que ceux qui votaient OUI le votaient pour mille raisons différentes, et ceci pareillement dans le camp du NON.
Tous ceux qui ont voté OUI n'étaient pas de droite ou non impliqués dans l'évolution sociale, nous sommes d'accord, or tous ceux qui ont voté NON n'étaient pas non plus des révolutionnaires ou ce que vous semblez appeller des abrutis.

Et Niarf, tu sais...Le "OUI MAIS", que ce soit avec ce gouvernement ou un autre, on sait très bien qu'il est bien moins réalisable qu'un "non, alors.."

Personnellement, j'ai voté non.

Et j'ai déjà expliqué pourquoi.
Ce n'était en aucun cas un vote sanction contre le gouvernement, je ne suis affiliée (ni sentimentalement ni sur le papier) ni à droite ni à gauche.
Premièrement, j'ai défendu mon droit à l'expression démocratique de mon opinion, donc je suis allée voter.
Deuxièmement, ce que j'ai lu et compris du traité, évidemment beaucoup de concrétisations étaient enviables et enviées.
Néanmoins, beaucoup trop de zones d'ombre m'ont soufflé à l'esprit de ne pas "signer" un tel document trop obscur sur certaines de ses annotations.

J'ai eu un pincement au cœur, je vais pas faire la fête parce que le non est passé...ça m'attriste, mais je ne pouvais pas non plus me résigner à voter oui...C'est un vote Pierrot & Colombine, ok, mais j'avais pas non plus à m'abstenir pour faire plaisir à ceux qui y croyaient malgré tout...Le droit de vote est incontestable, je l'ai saisi, et on ne peut le juger dans le sens où c'était un référendum de passion, de division comme de réunification, et il est alors difficile de juger réellement les motivations des votants "oui" et des votants "non".

Inutile de mettre alors en exergue à vos ressentiments que les votants "non" ont contenté quelque part les extrémistres souverains de droite comme de gauche, ou encore qu'ils ont voté ainsi par frilosité ou béotie.

En continuant de taxer ainsi tous ceux qui ont voté non, vous allez vous aussi vous faire taxer d'anti démocrates.

C'est un débat qui sera toujours passionné, l'important est d'arriver à quelque chose de constructif et de lumineux qui réunira tous les suffrages positifs, si ce n'est par référendum (faut pas rêver, maintenant, je sais très bien qu'en votant non c'était ma dernière chance de manifester mon droit à l'expression personnelle), du moins dans l'esprit et l'action.

Bonne journée à vous, français, européens, votants "oui" ou votants "non"...Pour le coup, je peux blâmer personne.
Juste être attristée d'avoir eu à voter non pour une Europe que j'aimerais voir décoller...Mais je ne pouvais pas voter un "oui, mais".
Le "oui, mais" n'aurait jamais existé. :/

[Legolas]

et voila comment la France veut rester ds son ptit coin, dmg pour vous

[niarf]

Ben je ne juge personne non plus et evidement tout le monde vote en son ame et conscience... Je n'en veux pas au votant du non puisqu'ils ont simplement fait comme moi, donner leurs avis...

Pour le "glandu de gaucho", c'est plus profond... Je crois en une france sociale, mais pour faire dans le sociale il faut avoir des richesses a distribuer... En l'occurence, on as plus un fleche, c'est la ruine... ALors oui, certains ce gavent comme des gorrets (cf total, carrefour, etc...), ils devraient faire un effort pour redistribuer ses richesses je l'accorde. Mais il faut que notre pays devienne tout entier un créateur de richesse... Un modele social a la britannique (sisi, blair est de gauche..) ne me parrait pas etre une trop mauvaise solution...Evidement c'est loin d'etre parfait...

La ou le non me decoit c'est que j'y vois surtout une peur d'avancer et une peur d'essayer de nouvelles recettes... Il n'y a qu'en essayant que l'on apprend. C'est vrai pour l'individu, mais aussi pour la nation... Il n'y as qu'en prenant des risques que l'on progresse... Le refus de mouvement des francais m'attriste un peu. La vie est dans le mouvement, pas dans la stagnation.

Le vote français plonge l'Europe dans une période d'incertitudes
LE MONDE | 30.05.05 | 14h08 • Mis à jour le 30.05.05 | 14h17


Bruxelles et dans la plupart des autres capitales européennes, les appels à poursuivre le processus de ratification de la Constitution se sont multipliés au soir du non français, dimanche 29 mai. Tony Blair, le premier ministre britannique, dont on estime qu'il se passerait bien d'avoir à organiser le référendum qu'il a lui même promis, a toutefois réservé sa réaction pour lundi. Son ministre des affaires étrangères, Jack Straw, a estimé que le vote français "pose de sérieuses questions pour tout le monde" .

Le traité doit être ratifié par tous pour entrer en vigueur. Mais il prévoit, dans une déclaration annexe, qu'au bout du processus, si quatre cinquièmes des États ont ratifié et que les autres ne l'ont pas fait, les chefs d'Etat et de gouvernement des Vingt-Cinq se réuniront pour décider quoi faire. Neuf pays, dont l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne, ont déjà approuvé le traité, les autres doivent le faire d'ici à 2006. Les Pays-Bas votent à leur tour mercredi 1er juin, et là aussi le non est largement en tête des pronostics. Les formations populistes et d'extrême gauche qui appellent à voter non se sont félicitées du vote des Français.

Dans une déclaration commune, les présidents des trois grandes institutions européennes ­ le premier ministre du Luxembourg, Jean-Claude Juncker, dont le pays exerce la présidence tournante du Conseil, le président de la Commission, José Manuel Barroso, et le président du Parlement européen, Josep Borrell ­ ont indiqué qu'elles partaient du principe que le processus irait jusqu'au bout. "Le résultat du référendum français mérite une analyse approfondie, en premier lieu de la part des autorités françaises. (...) Les institutions européennes devront également, pour leur part, réfléchir, le moment venu, sur les résultats de l'ensemble des processus de ratification" . "L'Europe, concluent-ils, a déjà connu des moments difficiles et elle a su à chaque fois en sortir renforcée, meilleure qu'avant, prête à faire face aux défis et aux responsabilités qui sont les siens. Aujourd'hui, l'Europe continue et les institutions fonctionnent pleinement. Nous sommes conscients des difficultés mais nous avons confiance que de nouveau nous trouverons les moyens de faire progresser l'Union européenne." Les chefs des principaux groupes au Parlement européen ont réagi eux aussi dans ce sens.

Du côté des Etats, le chancelier allemand Gerhard Schröder, qui s'est entretenu par téléphone avec le président Chirac, s'est refusé à dramatiser. C'est "un revers pour le processus de ratification de la Constitution mais pas sa fin" , a-t-il fait savoir par son service de presse, en soulignant que "ce n'est pas non plus la fin du partenariat franco-allemand dans et pour l'Europe" . De nombreux dirigeants se sont exprimés pour que les ratifications se poursuivent. C'est le cas du premier ministre suédois, Göran Persson, comme du vice-président du conseil italien, Gianfranco Fini. Le chef du gouvernement espagnol, José Luis Zapatero, considère que "le traité a déjà été approuvé par neuf pays, (...) et doit donc être soumis au vote des autres Etats de l'Union" , a déclaré son porte-parole. Le gouvernement irlandais a indiqué que le vote français ne remettait pas en cause le référendum irlandais.

Jean-Claude Juncker, le président en exercice de l'Union, qui a eu également un entretien téléphonique dimanche soir avec Jacques Chirac, a indiqué que la suite à donner aux référendums français et néerlandais serait examinée lors du prochain Conseil des chefs d'Etat et de gouvernement européen, les 16 et 17 juin à Bruxelles. Celui-ci va donner lieu à d'intenses consultations préparatoires.

M. Juncker va recevoir à Luxembourg ses pairs, à commencer, lundi 30 mai, par les premiers ministres belge et tchèque. Il rencontrera le président français le 9 juin. Celui-ci aura également le 10 une rencontre avec le chancelier Schröder, en France, en présence des deux ministres des affaires étrangères, puis avec Tony Blair, lequel effectue une tournée européenne pour préparer son sommet du G8, en juillet.

Il était initialement prévu que le Conseil européen soit consacré exclusivement à la négociation du budget de l'Europe élargie pour la période 2007/2013. Mais aucun des trois grands Etats n'est en mesure d'accepter des compromis. L'Allemagne va avoir des élections anticipées à la rentrée de septembre, et le chancelier Schröder, dont les chances de conserver sa majorité sont faibles, ne prendra aucun engagement qui impliquerait un effort financier supplémentaire pour son pays. La Grande-Bretagne, qui exercera au 1er juillet la présidence de l'Union, doit faire face à de fortes pressions pour renoncer au rabais qui lui a été consenti en 1984 sur sa contribution. Elle a plutôt intérêt à temporiser en attendant de savoir si elle pourra ou non échapper à son propre référendum sur la Constitution.

Quant à la France, très affaiblie par le non, elle court le risque d'une confusion qui la rendrait imprévisible jusqu'aux échéances électorales de 2007. Jacques Chirac, qui n'est plus en position de prendre des initiatives, a annoncé dimanche soir, dans son intervention télévisée, qu'il défendrait bec et ongles les intérêts français, c'est-à-dire avant tout la politique agricole commune.

Autant dire que les chances de parvenir à un accord sur le financement de l'Union avant la fin de 2006 sont singulièrement réduites. Un an après un élargissement à Vingt-Cinq qui a rendu son fonctionnement plus difficile, l'Union européenne entre dans une période d'incertitudes dont on ne voit pas l'issue dans l'immédiat, avec de surcroît une Commission qui n'a pas fait la preuve de son efficacité dans les premiers mois de son mandat.

De toute facon, notre avis est comme d'habitude très facultatif... (et ca par contre que ce soit pour le oui ou le non c'st intolérable, mais bon il n'y as pas de raison que ca change...)

[naaldo]

je crois que le probleme est quand meme plus profond que sa legolas ...
ce n est pas le fait de rester dans son petit coin, sa a ete analyser comme un gros raz le bol de la politique menee par nos gouvernements ...
la france ne se porte pas tres bien a ce niveau, les gens ne font plus confiance aux gouvernements (quel qu il soit d ailleurs)
mais je pense toujours que le vote sanction n etait pas approprie a ce referundum en particulier mais bon je me repete la....


pol.t.c.e.s -->

de toute facon nous avons besoin d une europe, encore faut il determiner celle que nous voulons .... on a deja du mal a trouver un consensus a l interieur d un seul pays alors plusieurs ....

heu eviter d associer le NON avec ces d extremistes. a la limite des nationalistes ne se posent meme pas la question de savoir ce qu ils allaient vote (en gros ces gens la ne se sont meme pas pose la question de savoir ce que disais cette constitution ou si elle apporterait quelque chose de bien) et leur reponse au referundum etait deja clair au debut de la campagne
mais je rappelle qu il y avait des raisons valables (et sans forcement penser extremiste) pour voter non

bon allez je

[Legolas]

c'est vrai que j'ai regarder un peu ce qu'elle disait la constitution , mais bon

nous nos politiciens ont pris la decision eux meme

qui je crosi est juste

[Bonnie]

Justement Lego.
Nous ce serait passé OUI sans problème au congrès.
Et dans un climat comme celui d'aujourd'hui, lendemain d'élection pas très facile à digérer, ni pour tous les votants du oui, ni pour tous les votants du non, je trouve un peu léger que tu t'exprimes sur la France de cette manière.
Surtout si toi-même n'a pas eu à te pencher plus que ça sur la constitution en elle-même.
Il n'y a pas de fumée sans feu.

[naaldo]

la fumee sans feu
sisi ja connais sa

[raylenevroser]

lol bonnie tu degage grave j aime bcp
je comprend les personnes qui ont votés pour le non tous le monde en as mare des gouvernements sucesif, le chomage etc....et autre .
mais je pense sincerement que meme si cette nouvelle constitution etais loin d etre bien, elle aurai pu permetre de mettre fin au traité de nice .
(elle autorise en autre d'employer des societe exterieur à la france à un tarif ....) je pense que la majorité des français on oublier ca et que maintenant on as plus vraiment le choix il faut vivre avec se traité plein de lacune.
et efin je pense aux americains qui doivent bien se bidoné de voir notre europe partir en sucette quel soulagement pour eux .....

[Legolas]

han comment me suis fait jeter

bon ben me tait